La surprise est de taille
Dans une dépêche non datée, le MNJ comme pour dévoiler certains de ses responsables tapis dans l’ombre, vient de radier de grosses pointures de ses rangs. C’est la débandade dans les rangs de ce mouvement. Certaines de ces membres actifs se comportent comme d’innocentes personnalités trompant le peuple qui les considère pour des gens respectables et respectées. Comme le dit un proverbe : le jour du bain inutile de se cacher le nombril.
Le moment venu, le nom des ses traitres sera dévoilé au grand jour.
D’ores et déjà retenez que LAWAL KADER est l’un de ceux là ;
dimanche 25 novembre 2007
Le retour à la raison
Un groupe de jeunes combattants du MNJ vient de remettre ses armes aux autorités de la région d’Agadez. Cet acte patriotique est à saluer et encourager. Le reliquat du MNJ doit se racheter en suivant l’exemple de ces jeunes.
Nous y reviendrons
Nous y reviendrons
La folie meurtrière du MNJ
Pour l’instauration d’une justice qui commence à dire son nom, le MNJ et ses commanditaires s’attaquent à de paisibles voyageurs.
Aculés et repoussés au-delà de nos frontières, ces barbares regroupés au sein d’un soit disant mouvement des nigériens pour la justice tentent de tirer leur « baroud d’honneur » en plaçant des mines sur nos axes routiers et nos dépôts d’hydrocarbures.
La semaine qui vient de s’écouler a enregistré deux canions dont un car bondé de passagers qui ont sauté sur des mines anti chars faisant des blessés graves dont certains seront marqués toute leur vie.
L’autre acte à mettre à l’actif des ces « combattants de la justice », c’est la tentative de dynamiter le dépôt d’hydrocarbures de Dosso déjouée à la dernière minute.
Voici des actes qui doivent réveiller la conscience de la communauté nationale et internationale pour bannir à jamais ces criminels et trafiquants de tous genres.
Le peuple de Niger, pour sa part ne s’est pas trompé en refusant toute idée de négocier avec des êtres sans foie ni loi et dont le seul objectif est de mettre à feu et à sang le pays qui les a vu naître.
Nous Nigériens, devons une fois de plus, nous mobiliser comme un seul homme derrière nos autorités démocratiquement élues et nos forces de défense et de sécurité pour faire échec à ces apatrides.
La disparition du MNJ est programmée, c’est juste une question de temps.
Aculés et repoussés au-delà de nos frontières, ces barbares regroupés au sein d’un soit disant mouvement des nigériens pour la justice tentent de tirer leur « baroud d’honneur » en plaçant des mines sur nos axes routiers et nos dépôts d’hydrocarbures.
La semaine qui vient de s’écouler a enregistré deux canions dont un car bondé de passagers qui ont sauté sur des mines anti chars faisant des blessés graves dont certains seront marqués toute leur vie.
L’autre acte à mettre à l’actif des ces « combattants de la justice », c’est la tentative de dynamiter le dépôt d’hydrocarbures de Dosso déjouée à la dernière minute.
Voici des actes qui doivent réveiller la conscience de la communauté nationale et internationale pour bannir à jamais ces criminels et trafiquants de tous genres.
Le peuple de Niger, pour sa part ne s’est pas trompé en refusant toute idée de négocier avec des êtres sans foie ni loi et dont le seul objectif est de mettre à feu et à sang le pays qui les a vu naître.
Nous Nigériens, devons une fois de plus, nous mobiliser comme un seul homme derrière nos autorités démocratiquement élues et nos forces de défense et de sécurité pour faire échec à ces apatrides.
La disparition du MNJ est programmée, c’est juste une question de temps.
lundi 8 octobre 2007
qui se cache derrière Rfi
Le rôle que joue RFI en Afrique nous rappelle une certaine radio mille collines qui a mis à feu et à sang toute une région.
Aujourd’hui, la relève de la radio mille collines est assurée par cette radio jadis appréciée et écoutée par l’Afrique toute entière. Malheureusement, par la faute de certains de ses dirigeants en mal de sensationnel, RFI est devenue une radio subversive prête à enflammer tout un continent. Sinon, comment comprendre qu’un pays souverain, met aux arrêts un de ses citoyens pour complot contre l’Etat et au moment où la justice suit son cours, c'est RFI qui claironne sur tous les toits « à la libération immédiate et sans condition » de ce bandit de grand chemin, un apatride avéré. Comme si le Niger est encore sous tutelle de RFI ou de la France.
On se souvient du rôle qu’a joué RFI en Côte d’Ivoire, au Tchad, en Centrafrique, dans les deux Congo pour ne citer que ceux là. Aujourd’hui RFI cherche à installer la chienlit au Niger pour des intérêts inavoués. Eh bien, RFI doit savoir que les Nigériens sont un peuple de paix et que quiconque se met au travers de ses intérêts, récoltera la fonte et l’humiliation.
Moussa KAKA correspondant et agent double de RFI qu’il soit, il est un Nigérien comme tous les autres, il n’est pas au dessus de la loi de son pays. La justice nigérienne est et demeure indépendante. RFI doit la laisser faire son travail en toute impartialité.
Et si RFI n’est plus Radio France Internationale mais plutôt Réseau Français d’Insécurité, ce n’est par la faute des Africains qui refusent l’exploitation anarchique de son sous-sol par ceux là mêmes qui continuent de penser que l’Afrique est toujours sous tutelle coloniale. RFI peut continuer à créer ses réseaux imaginaires de soutien, cela ne nous fait ni chaud ni froid.
Le Chien aboie la caravane passe.
Aujourd’hui, la relève de la radio mille collines est assurée par cette radio jadis appréciée et écoutée par l’Afrique toute entière. Malheureusement, par la faute de certains de ses dirigeants en mal de sensationnel, RFI est devenue une radio subversive prête à enflammer tout un continent. Sinon, comment comprendre qu’un pays souverain, met aux arrêts un de ses citoyens pour complot contre l’Etat et au moment où la justice suit son cours, c'est RFI qui claironne sur tous les toits « à la libération immédiate et sans condition » de ce bandit de grand chemin, un apatride avéré. Comme si le Niger est encore sous tutelle de RFI ou de la France.
On se souvient du rôle qu’a joué RFI en Côte d’Ivoire, au Tchad, en Centrafrique, dans les deux Congo pour ne citer que ceux là. Aujourd’hui RFI cherche à installer la chienlit au Niger pour des intérêts inavoués. Eh bien, RFI doit savoir que les Nigériens sont un peuple de paix et que quiconque se met au travers de ses intérêts, récoltera la fonte et l’humiliation.
Moussa KAKA correspondant et agent double de RFI qu’il soit, il est un Nigérien comme tous les autres, il n’est pas au dessus de la loi de son pays. La justice nigérienne est et demeure indépendante. RFI doit la laisser faire son travail en toute impartialité.
Et si RFI n’est plus Radio France Internationale mais plutôt Réseau Français d’Insécurité, ce n’est par la faute des Africains qui refusent l’exploitation anarchique de son sous-sol par ceux là mêmes qui continuent de penser que l’Afrique est toujours sous tutelle coloniale. RFI peut continuer à créer ses réseaux imaginaires de soutien, cela ne nous fait ni chaud ni froid.
Le Chien aboie la caravane passe.
Communiqué N°15 du Mouvement des Jeunes Républicains
Communiqué N°15
Le samedi 06 Octobre 2007, les Nigériens ont été édifiés par rapport aux informations circulant sur Internet et portant création d’une « République Touareg de Tumoujgha », qui s’étendra sur les 2/3 du territoire nigérien et 1/3 sur le territoire malien.
Au MJR, nous n’étions nullement surpris de cette dérive du MNJ et de ses commanditaires. Heureusement pour le Niger, les Personnalités invités au débat, ont, preuve à l’appui (cartes, documents écrits, ….) démontré que la fameuse OCRS (Organisation Commune des Régions Sahariennes) n’a jamais été un Projet politique, c’est à dire un « Etat en gestation » même pendant la période coloniale.
Les invités, tout en se basant sur un argumentaire scientifique, ont démontré les tenants et aboutissants de la démarche qui a abouti à la création de l’OCRS.
La création de l’OCRS, visait entre autre à réunir toutes les conditions optimales pour davantage exploiter les ressources du sol et sous-sol que recèle cet espace qui va de la Mauritanie au Tchad en passant par l’Algérie, le Mali et le Niger.
L’acte de naissance de l’OCRS, n’est rien d’autre qu’un acte d’aménagement de territoire, dans la perspective d’une pacification durable et profitable à la métropole.
La loi 1957-27 du 10 Janvier 1957 n’est rien d’autre que cette disposition législative qui a aboutit à la naissance de cette organisation tout en définissant les conditions dans lesquelles s’effectuent ces différents mécanismes.
Cependant, le MJR, constate avec regret l’amalgame délibérément entretenu en voulant porter un grave préjudice à l’intégrité du territoire national.
Comme l’ont si bien expliqué les différentes personnalités invitées à ce débat, la partition du Niger est un rêve que caressent les apatrides du MNJ ; mais ne peut être une réalité du fait d’une multitude de causes qu’ils ont savamment détaillées.
Au MJR, nous disons que le MNJ, vient de jeter les masques. Malheureusement pour ses animateurs, ils viennent de démontrer à la face du monde, qu’ils ne sont que des piètres individus, très peut politiques, pour se faire « piéger » de la sorte en publiant toute cette littérature qui circule sur internet.
Avec cette nouvelle donne, c'est-à-dire, celle de la création d’une République Touareg de Tumoujgha, le MNJ se met au dos tout le peuple nigérien et la communauté Internationale.
Il faut vraiment être un obscur, totalement idiot, pour mettre en avant un tel argumentaire et chercher du coup le soutien de l’opinion internationale.
Nous constatons hélas, suite à ce débat, que les idéologues du MNJ se rétractent, constatant certainement que leurs bavures et leurs stupidités ne peuvent être acceptées par les Nigériens.
Mieux, les Nigériens adhèrent massivement aujourd’hui à la position des autorités. Ce soutien massif des Nigériens n’est que la résultante logique de l’irresponsabilité et de la cécité politique que font montre chaque jour les animateurs du MNJ.
Arrêtez donc de verser des larmes de crocodiles. Votre Projet macabre ne passera pas en ce Niger de 2007. Depuis Mano Dayak, ce rêve a été caressé, mais il restera en définitive un vœu pieux.
Vive le MJR ;
Vive la République ;
Vive le Niger.
Le samedi 06 Octobre 2007, les Nigériens ont été édifiés par rapport aux informations circulant sur Internet et portant création d’une « République Touareg de Tumoujgha », qui s’étendra sur les 2/3 du territoire nigérien et 1/3 sur le territoire malien.
Au MJR, nous n’étions nullement surpris de cette dérive du MNJ et de ses commanditaires. Heureusement pour le Niger, les Personnalités invités au débat, ont, preuve à l’appui (cartes, documents écrits, ….) démontré que la fameuse OCRS (Organisation Commune des Régions Sahariennes) n’a jamais été un Projet politique, c’est à dire un « Etat en gestation » même pendant la période coloniale.
Les invités, tout en se basant sur un argumentaire scientifique, ont démontré les tenants et aboutissants de la démarche qui a abouti à la création de l’OCRS.
La création de l’OCRS, visait entre autre à réunir toutes les conditions optimales pour davantage exploiter les ressources du sol et sous-sol que recèle cet espace qui va de la Mauritanie au Tchad en passant par l’Algérie, le Mali et le Niger.
L’acte de naissance de l’OCRS, n’est rien d’autre qu’un acte d’aménagement de territoire, dans la perspective d’une pacification durable et profitable à la métropole.
La loi 1957-27 du 10 Janvier 1957 n’est rien d’autre que cette disposition législative qui a aboutit à la naissance de cette organisation tout en définissant les conditions dans lesquelles s’effectuent ces différents mécanismes.
Cependant, le MJR, constate avec regret l’amalgame délibérément entretenu en voulant porter un grave préjudice à l’intégrité du territoire national.
Comme l’ont si bien expliqué les différentes personnalités invitées à ce débat, la partition du Niger est un rêve que caressent les apatrides du MNJ ; mais ne peut être une réalité du fait d’une multitude de causes qu’ils ont savamment détaillées.
Au MJR, nous disons que le MNJ, vient de jeter les masques. Malheureusement pour ses animateurs, ils viennent de démontrer à la face du monde, qu’ils ne sont que des piètres individus, très peut politiques, pour se faire « piéger » de la sorte en publiant toute cette littérature qui circule sur internet.
Avec cette nouvelle donne, c'est-à-dire, celle de la création d’une République Touareg de Tumoujgha, le MNJ se met au dos tout le peuple nigérien et la communauté Internationale.
Il faut vraiment être un obscur, totalement idiot, pour mettre en avant un tel argumentaire et chercher du coup le soutien de l’opinion internationale.
Nous constatons hélas, suite à ce débat, que les idéologues du MNJ se rétractent, constatant certainement que leurs bavures et leurs stupidités ne peuvent être acceptées par les Nigériens.
Mieux, les Nigériens adhèrent massivement aujourd’hui à la position des autorités. Ce soutien massif des Nigériens n’est que la résultante logique de l’irresponsabilité et de la cécité politique que font montre chaque jour les animateurs du MNJ.
Arrêtez donc de verser des larmes de crocodiles. Votre Projet macabre ne passera pas en ce Niger de 2007. Depuis Mano Dayak, ce rêve a été caressé, mais il restera en définitive un vœu pieux.
Vive le MJR ;
Vive la République ;
Vive le Niger.
vendredi 5 octobre 2007
Une plaisanterie de mauvais goût
Le MNJ commence à dévoiler ses secrets. En créant de toute pièce une certaine république de Tumoujgha, réservée strictement à l’ethnie Touareg, le MNJ s’est lui-même trahi dans sa pensée.
Le Tumoujgha n’est rien qu’un camp de concentration où le MNJ compte parquer les Touareg jadis appelés les Hommes bleus du désert.
L’idée des animateurs de ce mouvement, est de transformer ce camp de concentration en musée où chaque occidental peut venir voir ce que sait qu’un touareg. Un retour en arrière de plusieurs siècles. Se faire de l’argent sur le dos des autres, c’est ça la devise du MNJ. He bien, c’est peine perdue car les Nigériens et les Maliens de même que les Algériens et Libyens ne se laisseront pas entrainer dans cette aventure sans lendemain.
En effet, après le Niger et le Mali, le territoire de l’Algérie dans sa zone sud et une partie de la Libye seront concernées.
Aussi, l’idée d’une concertation régionale du Président de la République du Niger pour endiguer le mal est salutaire.
Tumoujgha ne verra jamais le jour.
Le Tumoujgha n’est rien qu’un camp de concentration où le MNJ compte parquer les Touareg jadis appelés les Hommes bleus du désert.
L’idée des animateurs de ce mouvement, est de transformer ce camp de concentration en musée où chaque occidental peut venir voir ce que sait qu’un touareg. Un retour en arrière de plusieurs siècles. Se faire de l’argent sur le dos des autres, c’est ça la devise du MNJ. He bien, c’est peine perdue car les Nigériens et les Maliens de même que les Algériens et Libyens ne se laisseront pas entrainer dans cette aventure sans lendemain.
En effet, après le Niger et le Mali, le territoire de l’Algérie dans sa zone sud et une partie de la Libye seront concernées.
Aussi, l’idée d’une concertation régionale du Président de la République du Niger pour endiguer le mal est salutaire.
Tumoujgha ne verra jamais le jour.
Communiqué N°14 du Mouvement des Jeunes Républicains
Communiqué n°14
Le MJR, constate l’accélération foudroyante des évènements dans notre pays.
En effet du 20 septembre au 04 octobre2007, soit 2 semaines seulement de repos dont a bénéficié notre équipe de rédaction ; mais pendant ces deux (2) semaines, beaucoup d’eau a coulé sous le pont. Aussi, c’est sans surprise, que nous avions appris l’instant fatidique tant attendu, c’est-à-dire la création de la République de Tumoujgha qui était en fait le seul mobile de toute cette agitation que notre pays fait l’objet depuis février 2007.
Nous l’avions toujours dit, rien, absolument rien ne peut justifier cette insécurité grandissante dans le nord de notre pays. Mais après moult analyses, nous étions convaincus que l’on cache aux nigériens le vrai mobile.
Hélas depuis le 20 septembre 2007, la nouvelle est tombée comme un couperet : la République de Tumoujgha vient de naître.
Cette naissance faite dans le sang et la douleur est la preuve grandeur nature, qu’on ne peut négocier avec ces bandits armés. Aujourd’hui les évènements nous donnent raison. Comment les autorités de notre pays peuvent-elles discuter sur la balkanisation du territoire ? Comment le Président de la République peut-il entreprendre des pourparlers avec des gens qui mettent l’intégrité de notre pays à rude épreuve ? Or, la constitution du 09 août 1999 est assez claire en la matière. Aujourd’hui les masques sont tombés.
Même les plus septiques se rendent à l’évidence qu’aucune discussions ou négociation n’est possible avec cette nouvelle donne.
Au MJR, nous ne sommes nullement surpris de l’ampleur que prennent les évènements.
En tout état de cause, le peuple nigérien est mobilisé. Il est de plus en plus conscient des enjeux qu’il vit. Personne n’acceptera le fait accompli, c’est-à-dire, l’émiettement du territoire national.
Car, si d’aventure la République de Tumoujgha arrivait à naître, elle se fera sur au moins 2/3 de la superficie de notre pays c’est-à-dire : 844 666 km2.
A l’allure où vont les choses, une seule alternative s’offre à nous, c’est-à-dire, la guerre, rien que la guerre, pour faire prévaloir la Paix, la Stabilité et l’Intangibilité de nos frontières nationales.
Vive le Niger,
Vive le MJR
Vive la République
Le MJR, constate l’accélération foudroyante des évènements dans notre pays.
En effet du 20 septembre au 04 octobre2007, soit 2 semaines seulement de repos dont a bénéficié notre équipe de rédaction ; mais pendant ces deux (2) semaines, beaucoup d’eau a coulé sous le pont. Aussi, c’est sans surprise, que nous avions appris l’instant fatidique tant attendu, c’est-à-dire la création de la République de Tumoujgha qui était en fait le seul mobile de toute cette agitation que notre pays fait l’objet depuis février 2007.
Nous l’avions toujours dit, rien, absolument rien ne peut justifier cette insécurité grandissante dans le nord de notre pays. Mais après moult analyses, nous étions convaincus que l’on cache aux nigériens le vrai mobile.
Hélas depuis le 20 septembre 2007, la nouvelle est tombée comme un couperet : la République de Tumoujgha vient de naître.
Cette naissance faite dans le sang et la douleur est la preuve grandeur nature, qu’on ne peut négocier avec ces bandits armés. Aujourd’hui les évènements nous donnent raison. Comment les autorités de notre pays peuvent-elles discuter sur la balkanisation du territoire ? Comment le Président de la République peut-il entreprendre des pourparlers avec des gens qui mettent l’intégrité de notre pays à rude épreuve ? Or, la constitution du 09 août 1999 est assez claire en la matière. Aujourd’hui les masques sont tombés.
Même les plus septiques se rendent à l’évidence qu’aucune discussions ou négociation n’est possible avec cette nouvelle donne.
Au MJR, nous ne sommes nullement surpris de l’ampleur que prennent les évènements.
En tout état de cause, le peuple nigérien est mobilisé. Il est de plus en plus conscient des enjeux qu’il vit. Personne n’acceptera le fait accompli, c’est-à-dire, l’émiettement du territoire national.
Car, si d’aventure la République de Tumoujgha arrivait à naître, elle se fera sur au moins 2/3 de la superficie de notre pays c’est-à-dire : 844 666 km2.
A l’allure où vont les choses, une seule alternative s’offre à nous, c’est-à-dire, la guerre, rien que la guerre, pour faire prévaloir la Paix, la Stabilité et l’Intangibilité de nos frontières nationales.
Vive le Niger,
Vive le MJR
Vive la République
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